Hautement Improbable

Voici un billet léger sur un sujet sans importance tel que la télévision, avant de parler de sujets plus sérieux comme la littérature de SF. Ainsi donc il m'arrive de regarder la télé. Samedi soir je suis tombé sur On n'est pas couché, la nouvelle émission de Laurent Ruquier.

J'aurais dû vous parler du cycle Terre des origines d'Orson Scott Card dont je m'apprêtais à dévorer le quatrième  volet Le retour. Manque de chance, je l'ai oublié sur mon chevet avant de partir en vacances. Me voilà donc dans cette cité balnéaire sans ma dose de littérature SF pour la semaine.

Enfin, un peu de légèreté dans ce monde de brutes ! Voici ma première "fiche de lecture", il s'agit d'un petit roman de science-fiction (petit par la pagination car il n'est guère épais). Je m'en vais vous refaire la quat' de couv'.

Je pense que les membres du Hezbollah ont dû salement insulter les mères et les soeurs des Israéliens pour qu'ils se mettent dans une colère pareille.

Certainement qu'ils s'excuseront pour les destructions, les morts, tous ça. Mais en aucun cas ils n'auront de regrets, oui car on les aura provoqués.

Difficile de passer à coté, on ne parle plus que de ça. L'affaire Zidane est au centre de toutes les discussions, à la une de tous les journaux. Il ne reste plus qu'a ressusciter le Général pour déclamer un vibrant hommage :

Ceci est avant tout un billet "keep alive" donc avec peu de contenu intéressant (mais y en a-t-il jamais eu ?).

Salut, c'était le dernier mot de la fin, la rubrique d'Alain Rey sur France Inter le matin. Non, non ! il n'est pas mort ! c'est juste sa collaboration avec la radio du service public qui s'arrête.

Longtemps j'ai hésité, tergiversé, tourné autour du pot. Je le fait, je le fait pas ? A vrai dire, je cherchais un angle d'attaque un tant soit peu original, voire hautement improbable. Le seul problème avec ce sujet c'est qu'on est à l'antinomie du hautement improbable. On en bouffe matin midi et soir, alors à quoi bon ?

Raymond Devos est mort.

Je ne vais pas me fendre d'un mauvais hommage postume ; d'autres le feront mieux que moi, et certainement moins bien que lui.

Je voulais juste dire que j'ai eu le plaisir et l'honneur d'assister à l'un de ses spectacles, que ce fut un pur moment de bonheur et l'un de mes meilleurs souvenirs.

Alors merci Monsieur Raymond d'avoir dépensé tant d'énergie à nous émouvoir, à nous faire rire. Permettez-moi à mon tour de vous saluer.

Un tas de questions m'obsèdent en ce moment.