Hautement Improbable

Houla que de poussière ; j'ai laissé trainer ce blog trop longtemps, il y en a de partout. Il faut dire que mon rythme de vie a changé. Mon lieu de travail aussi. La petite heure quotidienne de tranquillité que j'arrivais à dégager n'existe plus. Mais à présent que je suis propulsé à plus de 300 km/h à travers la France, j'ai enfin une petite occasion de tapoter un peu.

Petite parenthèse sur le dispositif que j'emploie : Il s'agit de mon Palm relié à un clavier pliant infra-rouge acheté sur eBay (tiens, il faudra que je vous parle d'eBay un de ces jours). La rusticité de cet équipement contraste singulièrement avec celui de mes deux voisins cadres sup' qui grattent comme des malades sur leur vrai portable (il y en a même un qu'a sorti sa carte 3G) et cela me fait sourire intérieurement. Surtout qu'eux sont en train de bosser alors que moi... car en plus j'écoute de la musique en même temps (Talking Heads-Remain in light), je savais même pas que mon palm pouvait faire du multi-tache. j'ai tout de même un problème avec ce clavier : je n'ai pas encore trouvé le moyen de faire des accents circonflexes (oui bien sûr ils sont corrigés à présent). En tous cas ce système de saisie ultra-light est parfait pour le TGV.

Comme traditionnellement après une longue période d'abstinence je vais vous faire le résumé des billets auquel vous avez échappés. Les billets c'est comme les soufflés : si on les laissent refroidir trop longtemps ça retombe. J'en avais un bien remonté contre les sacs à sapin, mais forcément en parler au mois de mars, ça ne veut rien dire. J'avais également l'intention de déverser mon fiel sur TF1 après la diffusion d'une émission nommé "Les 30 histoires les plus mystérieuses" au sujet des forces de l'obscurantisme à l’œuvre sur cette chaîne. Pareil, plusieurs semaines après la diffusion ça tombe à plat.

Laissons cela, il y a bien plus intéressant car dans l'intervalle j'ai lu quelques bons livres dont j'ai envie de parler, la prochaine fois.

Juste un mot sur celui dont je ne vous parlerais pas: Un Maigret. C'est terrible, en le lisant je ne pouvais m'empêcher d'entendre la musique du téléfilm et de voir Bruno Cremer.