Hautement Improbable

Houla que de poussière ; j'ai laissé trainer ce blog trop longtemps, il y en a de partout. Il faut dire que mon rythme de vie a changé. Mon lieu de travail aussi. La petite heure quotidienne de tranquillité que j'arrivais à dégager n'existe plus. Mais à présent que je suis propulsé à plus de 300 km/h à travers la France, j'ai enfin une petite occasion de tapoter un peu.

Pour cette nouvelle année je vous souhaite plein d'amour, le reste n'est pas si important. Et une petite image pour commencer.

 

Ce site devient tellement improbable qu'il était indisponible pendant une journée. La fréquence de mes billets devient également de plus en plus improbable. A la demande générale de mes nombreux lecteurs (enfin, euh... à la demande particulière de ma nombreuse lectrice) je suis de retour. Alors quoi de neuf Docteur ? (bruit de mastication de carotte (Eh vous avez vu les effet spéciaux ?)) En guise de session de rattrapage, voici un résumé des billets auxquels vous avez (failli) échappés.

Bon ça y est, je m'invite au club des blaireaux qui ont un home cinema chez eux. Enfin, je n'y suis pas encore, on me livre le  matos vendredi. Au menu ce week-end : salade de câble, brandade de DTS et fricassée de bass-reflex.

Vous ai-je dis que je me suis acheté un nouvel appareil photo ? Il est magnifique, un vrai concentré de technologie comme je les aime. Il ne me quitte plus, je dors avec, je mange avec...

Pour composer ce billet hautement improbable j'ai pas mal d'ingrédients mais pas vraiment de recette. Je vous livre le tout en vrac :

• Pris d'un accès de nostalgie, je me met à farfouiller dans les vieux vinyles de ma jeunesse.

Mais comment font-ils ? Comment font-ils, ceux qui arrivent à mettre à jour leur site tous les jours, voire plusieurs fois par jour ?

J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle.

La bonne : Je part en vacances pour une semaine.

Ca devait arriver. Aujourd'hui j'ai eu mon premier hit Google. C'était une recherche sur "On ne devrait pas exister", le prochain film de HPG. Tout ça à cause du sous-titre de mon site. Il faut vraiment peser chaque mot de ce qu'on publie sur internet.

Je craque. Je ne le supporte plus.

Ce type me regarde, il m'observe, il m'intimide. Il m'inhibe. Il est trop sérieux, trop grave, il est limite effrayant.